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L’insoutenable envie d’accompagner

Escorter au plus juste des individus dans leur parcours de vie est pour moi une démarche écologique sur le long terme. Mon rôle auprès de vous consiste à promouvoir la réconciliation entre la tête, le cœur et le corps. Le long de ce chemin, j’ai pour ambition de réhabiliter une certaine légèreté de l’être.


Quels que soient les bagages et les émotions que vous portiez avec vous, je veux vous ancrer dans un présent aéré où tout est possible. Me faire miroir soutenant pour vous donner à voir le monde. Et, à travers vous, changer ce monde, une personne à la fois.



Mon « coaching manifesto »


  • « Parlez-moi de vous ! » : Qui n’a jamais eu à répondre à cette sempiternelle question d’entretien d’embauche ? Comment construire son pitch pour faire mouche auprès du recruteur ? Et finalement, pourquoi me choisiriez-vous, moi, plutôt qu’un autre coach pour atteindre vos objectifs ou donner vie à vos projets ?


  • Confidence pour confidence, la plupart du temps et au quotidien, j’aimerais que l’on me connaisse sans que j’aie à me présenter.


  • Mais cette fois-ci, c’est décidé, vous avez la main et je me dévoile au naturel pour vous expliquer le pourquoi du comment. Une véritable gageure : l’idée est de vous donner à voir ce qui est déjà là.


  • Sans filet, je me livre à l’exercice de vous faire part de ma vision du coaching, personnelle et clivante. Personnelle car je suis mon principal outil de travail, et le reste n’est que littérature. Clivante car je crois en un accompagnement sur mesure, empathique et de soutien.


  • Aujourd’hui, je me lance dans les salutations à votre soleil à travers la mise en avant sans filtre de mon activité. Alors, c’est paradoxal. Ce désir d’aller vers vous, tout en avançant à pas de louve taciturne.


  • Telle une candidate prête à tout pour accéder à la prochaine étape du process de recrutement, je prends donc mon parcours atypique à deux mains pour vous raconter pourquoi je suis devenue coach professionnelle.


  • Mon fil rouge, c’est que l’on peut accoucher de soi-même. Je m’efforce donc de porter un œil d’amour sur ce que je suis, sur ma sensibilité, mes ombres et mon besoin de faire les choses en profondeur. C’est en apprenant à mieux me connaître que ma vie a regagné en congruence, qu’elle est devenue limpide ces dernières années.


  • Grâce à cet alignement, j’ai choisi d’être pour vous l’épaule confortable et ouverte que j’aurais voulu avoir à ma disposition dans les moments les plus périlleux de mon existence : dans des situations médicales ou familiales délicates par exemple, mais aussi et bien sûr dans des interactions professionnelles stimulantes. Voici comment j’en suis arrivée là…


1 - Ecouter et observer : la prise de contact (2004-2008)


a - Je mets ma sensibilité en éveil sous un mouchoir de plomb


Dès mes premières expériences dans la finance de marché et le marketing produit, j’apprends qu’il est possible de se nourrir de toute atmosphère professionnelle (si, si !), pourvu que l’on aiguise son regard et sa relation à l’obligation de résultat.


En collant mes émotions d’hypersensible sous mes semelles, je passe du temps à randonner en tout terrain sur différents sentiers professionnels. Comme au théâtre, je change régulièrement de costume. J’intègre les dress codes formels et les usages informels, avec ou sans sherpa. De manière résolument feutrée et passe-partout, j’assimile les conventions collectives.


b - Je fais éponge et je décode les signaux faibles


Et, chemin faisant, j’observe de tous mes yeux et j’écoute, les oreilles écarquillées et fébriles. Je m’alimente en continu, je me délecte de ce festin et je n’en perds pas une miette. J’essaie de comprendre les exigences des clients, je m’intéresse aux relations rocambolesques dans les équipes et je participe à des salons flamboyants pour promouvoir les produits et l’image de marque.


Le monde trépidant du travail me fascine et m’aspire tout entière. De poste en poste, je regarde les jeux d’influence, les alliances improbables et les projets d’envergure. Avec méthode et discipline opiniâtre, j’apprends le langage du collectif.


2 - Réguler et arbitrer : l’affirmation de soi (2008-2018)


a - Je recrute comme je respire, souvent en apnée


Assez rapidement sur ma route cabossée de jeune femme cadre en entreprise, je comprends que je veux agir, et pas seulement admirer les organigrammes sur le papier glacé. Mes fonctions en Ressources Humaines m’amènent à prendre des décisions à enjeux et à faire des choix cornéliens.


Avant tout, et jusqu’à en perdre haleine, je sélectionne des dizaines de profils à longueur de journée. Des ribambelles de candidats ingénieux défilent sous mes yeux attentifs pour me détailler leurs désirs et leurs rêves de gloire. Ce que je fais a du sens pour moi : je me sens alignée. Dans ce tourbillon corporate, je suis grisée par l’aspect volumétrique. A mon échelle, je fais bouger les lignes sages des annonces et des grilles d’évaluation. En intégrant de nouvelles recrues, je donne des chances et j’aime ça.


b - Je dessine les projets de vie à quatre mains


Comprendre la culture des organisations dans lesquelles j’évolue est clé pour mettre en œuvre la fameuse adéquation entre les candidats impatients et les valeurs profondes de l’entreprise. En fervente urgentiste des talents, je mets toute mon énergie à ravitailler les postes vacants et les aspirations.


J’apprends aussi à projeter les collaborateurs dans la durée et à travailler sur les foisonnants modèles de compétences des différentes fonctions. Inlassablement, je cherche la bonne place pour chacun, je défends des passerelles suspendues entre les métiers, des changements de cap audacieux. Parce que j’y crois. Sans surprise, je pense que nous avons tous plusieurs parties de carrière et c’est une aubaine.


3 - Questionner et ouvrir le champ : la posture basse (depuis 2018)


a - Je restitue la responsabilité et j’offre de l’autonomie


Ces expériences truculentes de recrutement et de mobilité interne dans de grands groupes me donnent envie d’aller plus loin avec chacun. Loin de l’agitation protocolaire, j’accueille avec bonheur les singularités dans l’intimité du face à face.


A chaque instant, je m’applique à accepter les ressentis de l’autre. Le coaching me passionne rapidement et me fait découvrir la puissance des questions ouvertes. Par-dessus tout, je réalise que, quoi que je fasse ou dise, je ne suis pas à la place de l’autre et que chaque personne est experte de sa propre vie. Quel soulagement !


b - Je mets à disposition un cocon bienveillant


Ma nouvelle obsession depuis que je suis coach est de proposer une pratique inclusive. A chaque échange, je réapprends à regarder à l’intérieur pour faire naître les prises de conscience.


Durant mes séances, je m’attèle à respecter le rythme unique de chaque être humain, et à intervenir le moins possible. Inconditionnellement, je sais que vous êtes prêt à relever les défis qui se présentent à vous, j’ai confiance.


En toute discrétion, je suis uniquement là pour garantir le cadre : un endroit confortable où vous vous sentez en sécurité et au sein duquel se développe la relation de coaching. Quelques mots dénudés baignés dans la lumière du jour.
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